qu'aucun poète n'enseigne mieux les lois de son art; qu'aucun satirique ne trouble la conscience avec plus d'esprit, en réveillant le cœur touché sans le blesser
 Lord Byron, Le Pèlerinage de Childe Harold (1812). copier la citation

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Auteur Lord Byron
Œuvre Le Pèlerinage de Childe Harold
Thème art conscience
Date 1812
Langue Français
Référence
Note Traduit par Paulin Paris
Lien web https://www.gutenberg.org/files/27144/27144-h/27144-h.htm

Contexte

“toi que j'ai tant haï, non pour tes fautes, mais pour les miennes. C'est un malheur de comprendre et de ne pas sentir ta verve lyrique, de savoir tes vers et de ne pas les aimer: quoique aucun moraliste ne nous découvre notre vie chétive avec plus de profondeur; qu'aucun poète n'enseigne mieux les lois de son art; qu'aucun satirique ne trouble la conscience avec plus d'esprit, en réveillant le cœur touché sans le blesser; cependant adieu, Horace, je te quitte sur le sommet du Soracte. 78. O Rome! ma contrée de prédilection! cité de l'ame! que les orphelins du cœur viennent te contempler, mère délaissée des empires qui ne sont plus!” source