On vieillit, on a le sentiment radical de faiblesse, d’atonie, de malaise, qui tient au progrès de l’âge, et on se dit malade, on se berce de l’idée que cet état pénible tient à quelque cause particulière, dont on espère se guérir comme d’une maladie. Vaines imaginations ! La maladie, c’est la vieillesse, et elle est misérable
 Aldous Huxley, Le Meilleur des mondes (1932). copier la citation

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Auteur Aldous Huxley
Œuvre Le Meilleur des mondes
Thème imagination progrès
Date 1932
Langue Français
Référence
Note Traduit par Jules Castier
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