“ Les nations pauvres, c’est là où le peuple est à son aise ”
Karl Marx, Le Capital (1867). copier la citation
Auteur | Karl Marx |
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Œuvre | Le Capital |
Thème | peuple |
Date | 1867 |
Langue | Français |
Référence | |
Note | Traduit par Joseph Roy |
Lien web | https://fr.wikisource.org/wiki/Le_Capital/Texte_entier |
Contexte
“en coopérant à l’accumulation des capitaux productifs, contribuent à l’événement qui, tôt ou tard, doit les priver d’une partie de leurs salaires [125] . »
Enfin, le zélateur à froid de la doctrine bourgeoise, Destutt de Tracy, dit carrément :
« Les nations pauvres, c’est là où le peuple est à son aise ; et les nations riches, c’est là où il est ordinairement pauvre [126] . »
V
Illustration de la loi générale de l’accumulation capitaliste.
a) L’Angleterre de 1846 à 1866
Aucune période de la société moderne ne se prête mieux à l’étude de l’accumulation capitaliste que celle des vingt dernières années”
source