Le prix naturel du travail consiste en une quantité des choses nécessaires à la vie, telle que la requièrent la nature du climat et les habitudes du pays, qui puisse entretenir le travailleur et lui permettre d’élever une famille suffisante pour que le nombre des travailleurs demandés sur le marché n’éprouve pas de diminution.
 Karl Marx, Le Capital (1867). copier la citation

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Auteur Karl Marx
Œuvre Le Capital
Thème travail nature
Date 1867
Langue Français
Référence
Note Traduit par Joseph Roy
Lien web https://fr.wikisource.org/wiki/Le_Capital/Texte_entier

Contexte

“↑ Dans l’ancienne Rome, le villicus, l’économe qui était à la tête des esclaves agricoles, recevait une ration moindre que ceux-ci, parce que son travail était moins pénible. V. Th. Mommsen : Hist. Rom., 1856, p. 810. ↑ Dans son écrit : Overpopulation and its remedy, London, 1846, W. Th. Thornton fournit à ce sujet des détails intéressants. ↑ Petty. ↑ « Le prix naturel du travail consiste en une quantité des choses nécessaires à la vie, telle que la requièrent la nature du climat et les habitudes du pays, qui puisse entretenir le travailleur et lui permettre d’élever une famille suffisante pour que le nombre des travailleurs demandés sur le marché n’éprouve pas de diminution. » R. Torrens : An Essay on the external Corn Trade. London, 1815, p.62 — Le mot travail est ici employé à faux pour force de travail. ↑ Un écu allemand vaut 3 shillings anglais. ↑ Rossi : Cours d’Econ.” source