L’argent comptant qu’un homme de commerce est obligé de garder par devers lui pour faire face aux demandes du moment, est entièrement destiné à la circulation qui se fait entre lui et les autres gens de commerce dont il achète des marchandises.
 Adam Smith, La Richesse des nations (1776). copier la citation

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Auteur Adam Smith
Œuvre La Richesse des nations
Thème argent commerce
Date 1776
Langue Français
Référence Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations
Note Traduit par Germain Garnier et Adolphe Blanqui
Lien web https://fr.wikisource.org/wiki/Recherches_sur_la_nature_et_les_causes_de...

Contexte

“En réglant le papier-monnaie de manière à le concentrer presque en entier dans la circulation de commerçant à commerçant, les banques et les banquiers n’en seront pas moins à portée de prêter à peu près les mêmes secours à l’industrie et au Commerce du pays, qu’ils peuvent le faire quand ce papier remplit presque la totalité de la circulation. L’argent comptant qu’un homme de commerce est obligé de garder par devers lui pour faire face aux demandes du moment, est entièrement destiné à la circulation qui se fait entre lui et les autres gens de commerce dont il achète des marchandises. Il n’a besoin de garder aucun argent comptant pour la circulation qui se fait entre lui et les consommateurs qui se fournissent chez lui, ceux-ci lui apportant de l’argent comptant au lieu de lui en ôter.” source