L’ange gardien de la femme aimée, c’est la conscience de l’homme qui aime.
 Victor Hugo, L'Homme qui rit (1869). copier la citation

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Auteur Victor Hugo
Œuvre L'Homme qui rit
Thème conscience femmes
Date 1869
Langue Français
Référence
Note
Lien web https://fr.wikisource.org/wiki/L%E2%80%99Homme_qui_rit_(%C3%A9d._1907)

Contexte

“Il y avait en ce moment-là, au-dessus de la flamme de la lampe, une fumée qui se dissipait, et quelque chose comme du papier qui tombait en cendre. Cette fumée avait fait éternuer Dea. — Qu’est cela ? demanda-t-elle. — Rien, répondit Gwynplaine. Et il se mit à sourire. Il venait de brûler la lettre de la duchesse. L’ange gardien de la femme aimée, c’est la conscience de l’homme qui aime. Cette lettre de moins sur lui le soulagea étrangement, et Gwynplaine sentit son honnêteté comme l’aigle sent ses ailes. Il lui sembla qu’avec cette fumée la tentation s’en allait, et qu’en même temps que ce papier, la duchesse tombait en cendre.” source