Mais d’habitude nous réfléchissons toujours et seulement sur la mort des autres. Eh oui, nous avons tous assez de force pour supporter les maux d’autrui. Puis vient le moment que l’on pense à la mort quand le mal est nôtre, et alors on s’aperçoit que le soleil ni la mort ne se peuvent regarder fixement. À moins que l’on n’ait eu de bons maîtres.
 Umberto Eco, L'Île du jour d'avant (1994). copier la citation

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Auteur Umberto Eco
Œuvre L'Île du jour d'avant
Thème autrui mort
Date 1994
Langue Français
Référence
Note Traduit par Jean-Noël Schifano
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