“ Lorsqu’il voyait un homme en deuil, fût-ce un ami intime, il prenait un air de compassion. Lorsqu’il voyait un homme en bonnet de cérémonie ou un aveugle, même en particulier, il ne manquait pas de lui donner une marque de respect. Lorsqu’il était en char, s’il voyait un homme en grand deuil, il s’inclinait jusqu’à la barre d’appui. ”
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Auteur | Confucius |
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Œuvre | Entretiens de Confucius |
Thème | deuil respect |
Date | |
Langue | Français |
Référence | |
Note | Traduit par Séraphin Couvreur |
Lien web | https://fr.wikisource.org/wiki/Les_Entretiens_de_Confucius |
Contexte
“Quand il recevait des présents de ses amis, fût-ce des chars avec des chevaux, il ne se prosternait pas, à moins que ce ne fût de la viande offerte aux défunts.
X.15. Couché pour prendre son repos, il ne s’étendait pas dans la position d’un cadavre. À la maison, son maintien n’avait rien de trop grave. Lorsqu’il voyait un homme en deuil, fût-ce un ami intime, il prenait un air de compassion. Lorsqu’il voyait un homme en bonnet de cérémonie ou un aveugle, même en particulier, il ne manquait pas de lui donner une marque de respect. Lorsqu’il était en char, s’il voyait un homme en grand deuil, il s’inclinait jusqu’à la barre d’appui. S’il rencontrait un homme portant les tablettes du cens, il s’inclinait de la même manière. Quand on lui avait préparé un grand festin, il se levait et remerciait le maître de la maison. Quand le tonnerre grondait ou que le vent se déchaînait, il blêmissait.”
source