L’homme qui n’use que d’un seul est chimiquement pareil à celui qui en absorbe plusieurs.
 Gustave Flaubert, Bouvard et Pécuchet (1881). copier la citation

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Auteur Gustave Flaubert
Œuvre Bouvard et Pécuchet
Thème
Date 1881
Langue Français
Référence
Note
Lien web https://fr.wikisource.org/wiki/Bouvard_et_P%C3%A9cuchet/Texte_entier

Contexte

“et une oie, qu’ils avaient bourrée de garance, offrit des périostes d’une entière blancheur. La nutrition les tourmentait. Comment se fait-il que le même suc produise des os, du sang, de la lymphe et des matières excrémentielles ? Mais on ne peut suivre les métamorphoses d’un aliment. L’homme qui n’use que d’un seul est chimiquement pareil à celui qui en absorbe plusieurs. Vauquelin, ayant calculé toute la chaux contenue dans l’avoine d’une poule, en retrouva davantage dans les coquilles de ses œufs. Donc, il se fait une création de substance. De quelle manière ? on n’en sait rien.” source