“ I) de la nécessité de la nature divine, en tant qu’elle est considérée comme affectée de l’idée d’un homme , devrait se déduire tout l’ordre de la Nature conçue sous les attributs de l’Étendue et de la Pensée. ”
Baruch Spinoza, Éthique (1677). copier la citation
Auteur | Baruch Spinoza |
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Œuvre | Éthique |
Thème | nécessité pensée |
Date | 1677 |
Langue | Français |
Référence | |
Note | Traduit par Charles Appuhn |
Lien web | https://fr.wikisource.org/wiki/%C3%89thique_(Appuhn,_1913) |
Contexte
“Si donc il se pouvait que l’homme n’éprouvât d’autres changements que ceux qui se peuvent connaître par sa seule nature et conséquemment (comme nous venons de le montrer) existât toujours, cela devrait suivre de la puissance infinie de Dieu ; et en conséquence (Prop, 16, p. I) de la nécessité de la nature divine, en tant qu’elle est considérée comme affectée de l’idée d’un homme , devrait se déduire tout l’ordre de la Nature conçue sous les attributs de l’Étendue et de la Pensée. Il suivrait de là (Prop. 21 , p. I) que l’homme serait infini, ce qui (par la première partie de cette démonstration) est absurde. Il est donc impossible que l’homme n’éprouve d’autres changements que ceux dont il est cause adéquate.”
source